vendredi 13 février 2009

L'intellectuel prend du poids ?

J'aime beaucoup les émissions diffusées à Télé-Québec . Hier, par hasard (je suis la reine, à temps partiel ou à temps perdu, c'est selon, du zapage maison) je suis tombé sur un reportage de l'émission Le code Chastenay qui avait pour titre : «Penser fait-il engraisser?» (émission du 9 février 2009).

Avouez que vous n'y aviez jamais pensé. Je dois vous avouer qu'ils m'ont fait réfléchir à la question. Je comprends que de travailler en étant assis sur une chaise à fixer un écran d'ordinateur n'a rien de bien dure physiquement, mais que ça crée un besoin de manger plus grand... ça je n'y aurais jamais réfléchit.

Je vous laisse sur le texte d'introduction à l'épisode en question :

«Nous passons de plus en plus de temps assis devant nos ordinateurs, tentant de résoudre des problèmes de plus en plus complexes. Au cours du vingtième siècle en Occident, le travail a subi une transformation: il est de moins en moins physique et de plus en plus intellectuel. Ces changements ont des répercussions sur notre métabolisme. Au-delà des calories non dépensées à cause de la sédentarité, le travail intellectuel ferait aussi augmenter la consommation de nourriture. Penser fait-il engraisser ? C’est ce qu’auraient démontré l’équipe du physiologiste Angelo Tremblay, de l’Université Laval. Selon ces chercheurs, le travail intellectuel serait un des facteurs qui expliquerait l’épidémie actuelle d’obésité.»

Et pour en savoir plus sur le travail du physiologiste Angelo Tremblay, cliquez ici.

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